Tisser des liens !
Sans conteste, la force de l’ADGC réside dans la culture de proximité, laquelle nous distingue nettement d’autres associations-cadres.
Partager nos expériences, renforcer le dialogue!
Dans le contexte actuel, faire face aux changements de façon lucide peut nous aider à sortir gagnants et à retrouver une certaine homéostasie au sein de notre organisation.
L’intelligence collective : notre meilleure alliée!
Nous l’avons souligné avec force lors de notre dernier congrès : nous sommes aux premières loges d’une métamorphose sociétale et des modèles d’affaires.
Quel leadership pour les organisations de demain?
De nos jours, on accole souvent au mot leadership plusieurs épithètes pour mieux le qualifier.
Mieux gérer dans la tranquillité
Au moment où tout change autour de nous, à une époque où les technologies numériques nous forcent à épouser de nouvelles façons de faire, la gestion au quotidien nous pousse à penser rapidement, à échafauder des plans d’action en vue de rendre nos organisations plus performantes.
Quand planification stratégique rime avec actions concrètes
Bien avant l’automne, l’ADGC avait lancé un chantier, celui que plusieurs connaissent bien, la planification stratégique.
Quelle gouvernance pour les dirigeants de demain?
Cela fait quelques années qu’un vent nouveau souffle sur les modes de gouvernance. Le sujet est discuté dans les forums, les universités, mais aussi au sein des organisations.
Incivilité au travail: mieux la définir pour mieux la comprendre
Les incivilités sont présentes au sein de nos sociétés et dans les milieux professionnels. L’incivilité dérange et est contraire aux règles usuelles de la civilité.
Changement et adaptabilité: un binôme utile par les temps qui courent
Jamais les concepts de changement et d’adaptabilité furent autant prononcés dans l’actualité, mais aussi au sein des organisations et chez les chercheurs d’universités.
Attraction, accueil et rétention: une trilogie indispensable pour réussir les RH
Si on parle de plus en plus de pénurie de main-d’œuvre au Québec, force est de constater que l’attraction, l’accueil et la rétention des talents deviennent quelque chose de fondamental lorsqu’on aborde la gestion des ressources humaines en 2022.
Quand le bon stress sait nous rendre encore meilleur !
La très grande majorité des études sur le stress font état des facteurs négatifs qui y sont rattachés. La bonne nouvelle, le stress ponctuel peut être bénéfique pour chacun d’entre nous et peut servir à nous dépasser.
De la technologie à l’humain : comment se reconnecter?
Si la pandémie a bouleversé nos habitudes de vie, elle a aussi amené un changement de paradigme dans nos façons de faire au travail.
Il a fallu apprendre à modifier nos rapports avec les autres, à échanger et à interagir à partir de la technologie et à lui donner préséance.
Êtes-vous autobienveillants?
À quelques semaines de la rentrée d’automne, et dans l’espoir (encore incertain) d’un retour à ce que nous avons l’habitude d’appeler « une certaine normalité », nous avons un peu l’impression de tous avoir besoin d’une thérapie collective. C’est ce qui nous a guidés pour le choix du thème de ce numéro de Leader, axé principalement sur la santé mentale.
À l’image des membres de Desjardins
Desjardins n’est pas une institution financière comme les autres. Elle offre une panoplie de services financiers à une clientèle qui en est aussi propriétaire. N’est-ce pas la raison d’être d’une coopérative ? Toutefois, les attentes des membres de Desjardins évoluent constamment. De plus, les technologies numériques ont chamboulé l’industrie financière en plus de modifier les habitudes des consommateurs.
L’interdépendance mise en relief par une année de pandémie
Depuis un an, le bien-être et l’avenir de l’humain ont été au centre de nos réflexions collectives et individuelles, et c’est l’humain qui nous a guidés dans le choix de nos sujets pour la production de cette édition de Leader.
Le cœur et le réseau
Les termes membres et clients s’écrivent au pluriel lorsqu’il est question d’illustrer la portée immense des caisses Desjardins sur le territoire. Toutefois, les DG, DCDE ou DSSD ont plutôt l’habitude, dans leurs conversations, de parler « du » membre, « du » client. Car il n’y en a qu’un seul qui compte : un à la fois. La proximité que les caisses ont développée depuis plus d’un siècle avec leurs communautés les a fait grandir toutes les deux.
Informel
Nous nous parlons au téléphone. Parfois aussi, nous discutons en visiophonie par l’intermédiaire de Teams, Skype ou Zoom. Toutes nos rencontres ont été virtuelles depuis mars dernier. Incroyable, non ? Et pourtant, c’est vrai. L’un pourrait vivre à Stockholm ou Paris, l’autre à Montréal ou Vancouver. La distance ne nous empêche pas de communiquer, de débattre, de nous nourrir mutuellement d’idées, de questions, de sujets. Savez-vous comment nous procédons pour écrire notre mot ? En jasant. Dans l’informel.
À la place de l’autre
L’expression « l’humain au cœur de nos préoccupations » donne plus d’un million de références dans les moteurs de recherche. Une phrase creuse ? Non. Au contraire. C’est un rappel obligatoire que toute entreprise doit son existence et sa survie au soin qu’elle apporte à sa manière de traiter les humains, qu’ils soient à l’intérieur ou à l’extérieur de l’organisation. En cette étrange année, au cours de laquelle tous les humains de la planète ont été touchés, directement ou indirectement, par le non moins étrange virus SARS-CoV-2, nous avons tous pris la pleine mesure du lien qui nous unit.
Changement de paradigme
Le lundi 9 mars dernier, les bourses ont chuté de manière spectaculaire à la suite de l’effondrement des cours du pétrole et de l’incertitude provoquée par le coronavirus : l’Italie venait d’imposer la mise en quarantaine de l’ensemble de sa population. Le monde entier rivait ses yeux sur la menace de la pandémie. Le Canada recommandait à tous ses citoyens d’éviter les navires de croisière. Et bien sûr, on insistait sur les mesures d’hygiène à adopter.
Savoir rebondir
On ne l’avait pas prévu, mais il est là, bien présent. Quoi ? Ce que le professeur Nassim Nicholas Taleb appelle le « cygne noir » : un événement imprévisible et peu probable, mais qui, s’il se réalise, a des conséquences d’une portée phénoménale.
Encore plus pertinente
Il y a quelques années, la direction de La Presse, devant « la mort du quotidien papier » et voulant répondre au souhait des consommateurs de voir plus de contenus interactifs, a créé une nouvelle plateforme.