L’ADGC : c’est nous !

Chantal Parent, Abitibi-Témiscamingue-Nord-du-Québec
Le Mouvement propose un rôle important aux DG des caisses en leur donnant ces temps-ci, à chacun, la responsabilité de communiquer à un groupe mixte de gestionnaires la vision de Desjardins. Intéressant… Innovant… Valorisant ! Nous serons les animateurs, coachs et leaders de nos groupes respectifs afin de nous assurer, tous ensemble, que les valeurs et objectifs de notre institution financière sont traduits par nos actions au quotidien.
Que les bottines suivent les babines ! Grâce à notre force collective, grâce à notre interconnexion au sein d’une association solide comme l’ADGC, qui d’autre que nous pourrait assurer mieux la cohésion dans l’ensemble du réseau ? Contaminons les nouveaux DG à l’importance de se réseauter pour mieux évoluer ensemble vers la réussite en contribuant collectivement et en s’épaulant.
Nous avons besoin de l’ADGC
Il n’y a pas que le Mouvement qui nous encourage à la solidarité. Il y a aussi l’Association. Plus que jamais, je m’y sens attachée. Nous en avons tous besoin, et j’ajouterais même : plus que jamais, parce que nous traversons une étape clé dans l’histoire de Desjardins. Ensemble, bâtissons l’avenir avec confiance. Nous devons donc, même à distance, même en cette ère de rencontres virtuelles, continuer de nous connecter les uns aux autres, de nous informer de nos bons coups, de partager nos réalités, nos idées, nos enjeux, nos défis… et tout ce qui touche notre quotidien en tant que responsables de nos caisses, de nos CDE et de nos SSD, sans compter nos millions de membres. Oui : heureusement que notre association existe.
Le Mouvement a besoin de l’ADGC
Si le Mouvement a besoin de nous et que nous avons besoin de l’ADGC, ça signifie que le Mouvement a besoin de l’ADGC. C’est aussi simple que ça. En même temps que nous travaillons tous ensemble au grand projet des fondements de Desjardins, plusieurs d’entre nous souhaitent renforcer ceux de notre association et les faire évoluer. Le moment est évidemment bien choisi. Le leadership des caisses du territoire que je représente est assuré par des DG qui ont le logo de Desjardins tatoué sur le cœur. Ils n’avaient pas besoin de me le dire, ça se voit et ça se sent. Ils veulent être des acteurs de premier plan des Fondements Desjardins. Être des modèles, voilà ce à quoi nous aspirons tous. Cet exercice fait appel à notre capacité de nous montrer « présents » pour les enjeux de qualité totale pour nos membres et clients.
L’Association nous fournit une tribune permanente, des ressources et un grand nombre d’outils. Et tout ça, c’est à nous. Nous sommes l’Association !
Je suis membre de l’ADGC depuis 22 ans et du CA de l’ADGC depuis maintenant huit ans. En écoutant mes collègues de toutes les régions autour de la table, je me suis rendu compte à quel point nous nous rejoignons, de toutes les régions de Desjardins. Chaque fois, je me suis sentie fière d’appartenir à mon groupe et de contribuer à quelque chose de significatif. Chaque DG se doit de s’y intéresser et d’aller visionner la nouvelle revue virtuelle, éclatée dans un format différent. Pourquoi ? Parce que c’est à nous.
L’ADGC prend soin des DG, des DCDE et des DSSD du réseau.
En mars, nous n’avons pas eu notre dîner-conférence annuel ; en septembre, nous n’avons pas eu notre congrès annuel. C’est vrai. Mais si la COVID-19 nous a fait manquer deux événements phares de notre association, elle a aussi eu un effet bénéfique puisque la nature a horreur du vide : si l’ADGC n’avait pas existé, nous aurions voulu l’inventer pendant la pandémie. S’associer pour briser l’isolement… Si c’était le cas, comment l’inventeriez-vous ?
Le Mouvement Desjardins lui-même, après plus d’un siècle d’existence, ne cherche-t-il pas à se réinventer ? Oui. Avec nous, bien entendu.