
Courroies de transmission
Serge Barrette
Le territoire que je représente au conseil d’administration de l’ADGC est divisé en six milieux. Je peux donc compter sur cinq ambassadeurs pour m’alimenter lors de la rencontre de mes collègues à la table du CA de l’ADGC. De plus, ces ambassadeurs ont aussi une autre interlocutrice à l’Association : la directrice générale.
Afin de bien jouer son rôle, chaque ambassadeur communique d’abord avec ses collègues afin de recueillir l’information pertinente en fonction des rencontres qui se feront au cours de l’année. Une information qu’il ou qu’elle transmettra ensuite à la directrice générale de l’Association, Karine Oscarson, par courriel ou par téléphone. Bien entendu, elle me tient au courant.
Les ambassadeurs sont tout désignés pour le faire, car ils ont maintes fois l’occasion de se rencontrer au courant de l’année, notamment par les comités de coordination ou les rencontres spécifiques qu’ils organisent entre les DG de chaque secteur. Ils peuvent alors discuter des enjeux qui les touchent tout particulièrement.
Une communication directe entre les ambassadeurs et Karine Oscarson permet à cette dernière d’obtenir une vue d’ensemble de tout le réseau avant les réunions du CA. Si elle prend connaissance d’une problématique particulière dans une région, elle sera en mesure d’en discuter avec tout le monde autour de la table. Les ambassadeurs ayant fourni une information pertinente aux administrateurs, l’ensemble des membres de l’ADGC auront le pouls du milieu et pourront suivre les principaux dossiers ou enjeux qui les interpellent.
Des appels à l’action
Établir un mode de fonctionnement efficace était un nouveau défi à relever lors de la restructuration de l’ADGC. Nous sommes tous très occupés par nos fonctions, et réussir à joindre tout le monde n’est pas toujours facile. Toutefois, la méthode de travail que nous avons mise en place fonctionne plutôt bien jusqu’à présent. Lorsque l’ambassadeur d’un milieu veut partager ses préoccupations avec l’ensemble des caisses du réseau, il peut être assuré qu’elles seront entendues et discutées à la table de l’ADGC. De plus, nous le tiendrons au courant, ainsi que tous les ambassadeurs du réseau, des actions qui seront entreprises par l’Association.
Tous les sujets sont pertinents et méritent notre écoute. Lors d’une réunion récente du CA, deux ambassadeurs nous ont communiqué leurs préoccupations. L’une d’elles renforçait une action que l’ADGC devait prendre ; l’autre concernait plutôt le CSP, auquel j’ai relayé l’information. Dans ces deux cas comme dans les autres, notre rôle est de nous assurer que les demandes ou préoccupations ne s’empilent pas et qu’elles seront dirigées vers les bonnes personnes.
Les ambassadeurs ont presque tous été nommés dans le réseau, mais il en manque encore quelques-uns. Avis aux intéressés !